L’histoire, selon la 4e de couverture :

WILDE.
Il a grandi dans les bois. Seul. Aujourd’hui, c’est un enquêteur aux méthodes très spéciales. VOUS IGNOREZ TOUT DE LUI. Il est pourtant le seul à pouvoir retrouver votre fille et cet autre lycéen disparu.
Le seul à pouvoir les délivrer d’un chantage cruel. D’un piège aux ramifications inimaginables. Mais ne le perdez pas de vue. CAR, DANS LA FORÊT, NOMBREUX SONT LES DANGERS ET RARES SONT LES CHEMINS QUI RAMÈNENT À LA MAISON.

J’ai repris la police d’écriture du dos du livre, avec ses grandes majuscules, mais j’ai tout regroupé. Sinon, ça prendrait la page.

Voilà, j’ai plongé dans ce gros Harlan Coben, un pavé encore, après avoir dévoré « La fille dans les bois » de Patricia Macdonald (excellent). Pour Harlan Coben, pas de souci.
C’est ce que je croyais.

Je ne suis pas arrivée à rentrer dans le livre, dans l’histoire, je n’ai pas appris à connaitre les personnages. Les premiers chapitres, à première vue, nous permettraient de connaitre les personnages. Wilde, l’enfant sauvage, Mattew, celle qui est mystérieuse, Naomi, et la grand-mère Hester, célèbre avocate.
Cependant, non. J’ai eu beau avancer dans le livre, je n’ai pas compris les premiers chapitres, très mal amenés, qui compliquent plutôt la rencontre avec chaque personnage. Et… j’ai persévéré, jusqu’à la page 120. Et j’ai abandonné. Ça ne m’a pas prise dans le suspense, ce bouquin n’allait rien me donner de plus, sinon un ennui profond. Et un Harlan Coben abandonné, ça ne m’était jamais arrivé. C’est surprenant, mais je vous conseille d’éviter ce… machin. Ce ratage de l’année 2020. Encore.