J’avais prévenu que je ferais une chronique bâclée. La voici.

Voici un livre qui, je crois, est magnifique. J’ai lu la chronique de Franck’s Books, et j’ai immédiatement commandé (sur ebay). Et j’ai lu, démolie de fatigue par la canicule qui frappait le Nord la semaine dernière. Avec tous les inconvénients inhérents à mon enfermement dans une maison surchauffée. Je pense que je suis passée « à côté » de ce roman à cause de tout ça. Mais je tiens à en parler maintenant, de peur d’oublier. Parce que je suis malgré tout persuadée qu’il y a « quelque chose ». Je vais juste recopier la 4e de couverture, et vous laisser cliquer sur le lien vers la chronique de Franck.

« En 1968, dans un village côtier du Labrador, un enfant mystérieux voit le jour. Ni tout à fait homme ni tout à fait femme, les deux à la fois. Il n’y a que trois personnes qui sachent le secret. Les parents de l’enfant, Jacinta et Treadway, et une voisine, Thomasina, capable de tenir sa langue.

Les parents décident pour l’enfant quel sera son sexe aux yeux de la société. Mais, à mesure qu’il grandira, son autre « nature » refusera de se taire et l’accompagnera tout au long de sa découverte du monde, aussi fidèle que son ombre.

À partir de ce qui pourrait ne sembler qu’un fait divers, Kathleen Winter nous donne une œuvre d’une profonde beauté qui explore le fondement même de notre identité et de nos sociétés. Qui sommes-nous? Pourquoi la communauté des humains nous oblige-t-elle tout le temps à renoncer à nous-même, qui que nous soyons ? »

Chronique de Franck ici : https://francksbooks.com/2019/07/17/annabel/