Hier, pour me sortir Yann Moix et son affreux Orléans, j’ai pioché un petit roman anglais, qui date en fait de 2012. Je ne connaissais pas du tout cet écrivain qui est, entre autres, l’auteur de Chicken Run. C’est un bouquin dans la ligne chick-litt, littérature poulettes, mais ni fleur bleue, ni rose Barbara Cartland, ni Harlequin. Il a tous les codes : Londres, problemes de couple, autodérision, et happy end. Un petit roman bien agréable à lire.
Ici, le résumé éditeur : « Qu’un homme oublie son anniversaire de mariage, quoi de plus commun ? Qu’il oublie sa femme, c’est plus inhabituel. Après un étrange malaise, Vaughan reprend connaissance dans le métro londonien, complètement amnésique. Oubliés, son nom, son métier de professeur, ses enfants, sa femme et leur prochain divorce ! Quand, après moult péripéties, il revoit Maddy pour la première fois, c’est le coup de foudre.
Vaughan n’aura désormais qu’une obsession : reconquérir son épouse. Une mission quasi impossible puisque Maddy ne veut plus entendre parler de lui, et pour cause. Vaughan découvre qu’il était un homme odieux, égoïste et porté sur la bouteille. Avant d’espérer la séduire à nouveau, il devra lui prouver qu’il a changé. Dans la plus pure tradition anglaise, L’Homme qui a oublié sa femme est une comédie à la fois émouvante et désopilante sur les vicissitudes du mariage. »
Je n’avais pas lu la 4e de couverture, c’était un conseil « random » sur Babelio. Bien vu, j’ai beaucoup aimé. Fin, assez drôle, touchant et bien écrit, tout ce que j’aime pour un livre-détente.. J’ai voulu lui faire cette mini chronique, au cas où, en poche, d’occase, c’est une bonne et jolie comédie familiale.
Je me souviens de l’avoir lu. C’était pas le roman de l’année mais effectivement drôle et divertissant !
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Entre deux romans difficiles à aimer, un petit soufle léger, c’est bien…
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