Le résumé : Un beau mariage, trois enfants, un appartement dans un des plus beaux quartiers de New York….. telle était la vie de Simon jusqu’à la fugue de Paige, son ainée de 21 ans, tombée sous l’emprise d’un voyou. Si son épouse a baissé les bras, Simon cherche inlassablement sa fille. Il la retrouve à Central Park, à côté du monument dédié à John Lennon, amaigrie, sale, faisant la manche assise par terre, en chantant. Mais à l’approche de son père, la jeune fille s’enfuit en courant. Il en faut plus pour décourager Simon de poursuivre sa quête, il ne recule devant rien, quitte à mettre toute sa famille en danger. Happé dans une spirale de mensonges et de secrets, sauvera-t-il sa fille avant qu’il ne soit trop tard ?

On commençait à se lasser d’Harlan Coben. Pas seulement à cause de ses titres foireux et bidons qui font qu’on ne sait plus lequel on a lu ou pas, ils finissent par tous se ressembler. Ses romans aussi.

Mais là, il sort de sa zone de confort, c’est plus haletant, plus vivant, ça tire dans tous les coins, il y a des meurtres, des tueurs (à gages), des toxicos, une Secte et tout un bazar. C’est distrayant. 

Par contre, la fin, non quoi. La fin, vous m’en direz des nouvelles…

Ne t’enfuis plus – Harlan Coben, Belfond, Octobre 2019, 490 pages.